Avec C’est pas la fin, Dourack livre un morceau qui parle à tous ceux qui ont déjà touché le fond après une rupture. Ici, pas de discours dramatique : juste l’idée que, même quand tout s’effondre, une page se tourne et une nouvelle histoire commence.
Sur une prod aux ambiances nocturnes et planantes, il capture la sensation d’errance solitaire, comme marcher dans une ville vide à l’aube, entre froideur et éclats d’espoir.
Le clip, tourné de nuit sur un parking désert, installe une atmosphère presque post-apocalyptique : néons glacés, silence pesant, météorites en fond… Un décor qui reflète parfaitement ce mélange de désolation et de renaissance.
Avec ce titre, Dourack mélange mélancolie et lumière, et transforme une douleur intime en un hymne à la résilience.